Comment imaginer une organisation qui associerait les différentes composantes de la communauté métropolitaine de Montpellier dans la réflexion et l’élaboration
L'aménagement de la Zac se dessine. La zone située entre la rue du Grand Saint Jean et les voies du tram, maintenant déblayée va progressivement se transformer. Les travaux
La tour de la Babote est un des vestiges, avec La tour des Pins, la Porte de la Blaquière et la Porte du Pila Saint Gély d’une enceinte faisant de Montpellier une ville fortifiée, telle...
Jules-Emile Planchon est né à Ganges dans le Gard dans un milieu modeste. Il fait à Montpellier des études brillantes en botanique et en médecine. Après Paris et Nancy, il revient à Montpellier où il...
Jean- Jacques, Louis Durand, président de la cour des Comptes Aides et Finances, a été à 30 ans le premier maire élu de Montpellier, durant la période transitoire entre Ancien Régime et République de 1790 ...
JULES PAGEZY est maire de Montpellier de 1852 à 1869.
C’est un notable, il appartient à la grande bourgeoisie protestante de la ville. (Son tombeau est visible au cimetière protestant de la ville). Il épouse une...
Valéry Larbaud est né à Vichy, enfant unique de parents âgés.
A huit ans, il perd son père pharmacien propriétaire des sources « Vichy Saint-Yorre ». De santé fragile, il est élevé par sa mère qui lui...
François Marie-Anatole de Cabrières est né en 1830 à Beaucaire dans une famille noble par son père et sa mère. Grand intellectuel, après des études à Paris au séminaire Saint-Sulpice, il revient à Nîmes pour...
Guillaume Rondelet, né le 27 septembre 1507 à Montpellier et mort à Réalmont le 30 juillet 1566 (à 58 ans), est un médecin et naturaliste français, célèbre pour un ouvrage sur les poissons et pour...
C'est en 1816 qu'un projet de construction se fait jour à l'actuel emplacement, anciennement celui d'un "grenier de prévoyance". Il s'agissait d'un édifice de plan radioconcentrique ordonné autour d'une rotonde centrale avec un bas-côté annulaire...
L'ouverture de cette belle rue en 1845 est directement liée à la construction d'une nouvelle gare pour les trains assurant la liaison Montpellier - Nîmes. M. Didion, ingénieur en charge de la conception de cet...
En juillet 1857, la municipalité, sous le mandat de Jules Pagézy, acquiert les terrains situés devant la gare des voyageurs ouverte en 1845 pour y créer un square. Dessiné par les frères Bülher, le...
Au Moyen Âge, le sol de la place était occupé par le cimetière des frères de la Petite Observance, de l’ordre Saint François. En 1527, les sœurs de Saint Damien vinrent s’installer dans le couvent...
« Le ruisseau caché » de Montpellier Aiguerelle – aigarel - aigarada ou aigalada - signifie « petit ruisseau dans la ville ». L’appellation « rigole » se rencontre également. Ce ruisseau, un des nombreux...
La presse se développe durant la Monarchie de Juillet (1830-1848) alors que peu de personnes savent lire et que les journaux sont chers. S’il y a peu d’abonnés, les journaux se prêtent augmentant alors le...
Au Moyen Âge, des croix ont été élevées sur les places, les carrefours, dans les cimetières lors d’une mission ou pour commémorer un évènement. Les croix visibles aujourd’hui datent seulement du XIXème voire du XXème...
Installé depuis 1897, Le Dôme fait partie des institutions montpelliéraines.
Ce lieu chargé d'histoire, unique à Montpellier dans son style "brasserie parisienne" avec la bonne humeur méridionale en plus a su préserver au fil du temps...
Du XIème au XVIème siècle, une première église est construite à l’extérieur de l’enceinte de la ville, dans le quartier de Montpellieret, à l’emplacement du bastion Nord de la citadelle de Montpellier (lycée Joffre actuellement). À...
Créée en 2002, la Maison de la Démocratie, située au n° 16 de la rue de la République, est une structure mise au service des citoyennes et citoyens de la ville. Elle abrite la Direction...
Comment l'arrivée du train fait disparaître un bras du ruisseau "Les Aiguerelles" et apparaître les rues Durand et d'Alger, point d’origine d’un quartier urbanisé.
La rue Anatole France était dénommée d’abord « rue Farges », nom de l’apothicaire Jacques De Farges, réformé notoire qui avait une campagne non loin de là, après l’enclos du Grand Saint-Jean.